"Le Figaro" de 20 de Maio publicava este artigo que já antecipava a aplicação da Directiva Bolkestein:
Un sous-traitant de France Télécom emploie des ouvriers portugais à des conditions désavantageuses
Une fraude au Code du travail nourrit les craintes sur le dumping social
François-Xavier Bourmaud
[20 mai 2005]
Après le fameux plombier polonais, c'est au tour du planteur de poteaux téléphoniques portugais de s'immiscer dans la campagne référendaire. A moins de deux semaines du référendum, l'emploi par un sous-traitant de France Télécom d'une centaine de salariés sous contrat de travail portugais alimente la polémique sur le «dumping social», qu'agitent les partisans du non. Le cas de Constructel est à la fois banal et inquiétant. Pour remporter le marché de l'installation des poteaux et lignes téléphoniques de France Télécom dans le sud-est et le centre de la France, la filiale de la société portugaise Visabeira n'a pas hésité à faire baisser le prix de ses prestations en embauchant des salariés portugais aux conditions du marché local, nettement inférieures à celles du marché français. Selon le syndicat Sud, ces ouvriers travaillent jusqu'à «soixante heures par semaine, et six jours sur sept». «C'est légal et c'est prévu dans les règles communautaires», affirme le directeur commercial de Constructel. Les partisans du rejet de la Constitution européenne n'ont pas tardé à s'engouffrer dans la brèche pour dénoncer «une anticipation de l'application de la directive Bolkestein», selon le Parti communiste.
É melhor começarmos a pensar seriamente num NÃO rotundo ao tal projecto de "Uma Constituição para a Europa"
Depois deixa de ser fraude, passa a ser legal!
Un sous-traitant de France Télécom emploie des ouvriers portugais à des conditions désavantageuses
Une fraude au Code du travail nourrit les craintes sur le dumping social
François-Xavier Bourmaud
[20 mai 2005]
Après le fameux plombier polonais, c'est au tour du planteur de poteaux téléphoniques portugais de s'immiscer dans la campagne référendaire. A moins de deux semaines du référendum, l'emploi par un sous-traitant de France Télécom d'une centaine de salariés sous contrat de travail portugais alimente la polémique sur le «dumping social», qu'agitent les partisans du non. Le cas de Constructel est à la fois banal et inquiétant. Pour remporter le marché de l'installation des poteaux et lignes téléphoniques de France Télécom dans le sud-est et le centre de la France, la filiale de la société portugaise Visabeira n'a pas hésité à faire baisser le prix de ses prestations en embauchant des salariés portugais aux conditions du marché local, nettement inférieures à celles du marché français. Selon le syndicat Sud, ces ouvriers travaillent jusqu'à «soixante heures par semaine, et six jours sur sept». «C'est légal et c'est prévu dans les règles communautaires», affirme le directeur commercial de Constructel. Les partisans du rejet de la Constitution européenne n'ont pas tardé à s'engouffrer dans la brèche pour dénoncer «une anticipation de l'application de la directive Bolkestein», selon le Parti communiste.
É melhor começarmos a pensar seriamente num NÃO rotundo ao tal projecto de "Uma Constituição para a Europa"
Depois deixa de ser fraude, passa a ser legal!